Cher Monsieur.

Je vous accuse réception des deux cents francs que vous venez de me faire parvenir par la poste. – Je suis un peu en retard, excusez-moi. Sitôt que paraîtront les nouveaux morceaux je vous les enverrai.

En attendant, croyez-moi toujours

votre dévoué

Félix Godefroid

Ci-joint le reçu.

Lundi 22 Déc. 1862