Paris 22 mai 1877
Cher Monsieur.
Je vous renvoie les épreuves que j’ai si longtemps gardées.
Je vous en demande pardon, mais après le grand malheur qui vient de me frapper[1] j’ai dû abandonner mes compositions et nos épreuves sont les premières choses dont j’ai voulu m’occuper.
Depuis la Valse des Fées et Lucia j’ai fait paraître plusieurs choses et je corrige en ce moment les <3> premiers morceaux de [sic] (Collection de 6)
1° Les orientales (6 pièces)[2]
2° Soirées d’un musicien (idem)[3]
Si vous désirez les connaître vous me le ferez savoir le plus tôt qu’il vous sera possible.
Veuillez agréer, cher Monsieur, l’assurance de mes meilleurs sentiments.
Félix Godefroid
Comme ordre seulement, voulez-vous me permettre de vous rappeler le payement de la Valse des Fées et de Lucia